AccueilEconomieEmploi : Matches, un nouveau cabinet de recrutement de cadres à Marseille

Emploi : Matches, un nouveau cabinet de recrutement de cadres à Marseille

Après 15 ans passés auprès d’importants acteurs du secteur, Augustin Fournier a créé Matches, adossé au groupe Kube. Il nous en dit plus sur ce cabinet de recrutement marseillais, dédié à l’executive search et au management de transition.
Augustin Fournier a créé Matches, filiale du groupe Kube pour répondre à un manque de cabinet de recrutement positionné sur l’executive search et le management de transition.
D.R. - Augustin Fournier a créé Matches, filiale du groupe Kube pour répondre à un manque de cabinet de recrutement positionné sur l’executive search et le management de transition.

Economie Publié le , Propos recueillis par Alexandra ZILBERMANN

Les Nouvelles Publications : Pourquoi ne pas avoir créé votre cabinet de recrutement en nom propre ?

Augustin Fournier : J’ai en effet fait le choix d’intégrer le groupe Kube, plutôt que de créer ma boîte seul. Kube détient six filiales en France, en Espagne et aux USA. Le groupe compte 150 collaborateurs et réalise un chiffre d’affaires de 55 M€. Cela me permet de me concentrer sur mon cœur de métier et de dégager du temps pour constituer mon équipe. Nous serons cinq à la fin de l’année, 25 à l’horizon 2025. Je bénéficie donc de l’expertise de Kube en matière d’outils, de process et de fonction support. Ce sont leurs équipes, par exemple, qui sont en train de créer le site internet de Matches.

Quel est le positionnement de Matches ?

Ce cabinet de recrutement cible l’executive search et le management de transition. Nous recrutons des cadres dirigeants en CDI mais aussi, pour des missions à durée déterminée, dans des entreprises qui connaissent, soit une croissance importante, soit des difficultés. Le management de transition concerne par exemple beaucoup la transition digitale.

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Ce type de marché n’avait-il pas déjà des cabinets spécialisés dans le Sud ?

Très peu. C’est en partant de ce constat, en voyant que ce positionnement était principalement géré par des entreprises parisiennes, que j’ai eu envie de fonder Matches. Le besoin sur notre territoire est réel.

Pourquoi ce nom ?

L’expression « ça matche » est tombée dans le langage courant. C’est aussi un mot anglophone, ce qui est un "plus" pour la suite de notre développement. Mais surtout, j’ambitionne de réaliser des recrutements sur les valeurs. Les compétences restent la base, mais désormais, on sait bien que pour qu’un recrutement devienne pérenne, le partage de valeurs devient capital. Un "match" se révèle durable lorsqu’il fait sens et que les valeurs "candidat et entreprise" sont alignées.

C’est un constat plutôt nouveau ?

Oui, assez récent. Je souhaite recruter les leaders inspirants d’entreprises qui souhaitent contribuer à un monde meilleur. Ma vision est de devenir l’interlocuteur référent des entreprises contributives en France. J’ambitionne aussi de promouvoir des modèles managériaux, sociaux et environnementaux éthiques et durables.

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