Est-ce qu’on y mange avec les doigts ? Pourquoi pas après tout. Pour autant que ce soit fait avec délicatesse, La Coquinière ne devrait pas vous en tenir rigueur. L’érotisme c’est son truc, le non jugement sa devise. Les polaroïds des soirées, planqués du côté du bar, en attestent. Aux murs, des artistes d’ici et d’ailleurs exposent leurs photos et peintures dénudées. Dans les assiettes, thon katsu, halloumi grillé, ceviche de daurade, polpettes de veau, ravioles à la ricotta... Tous rebaptisés à la mode grivoise : Câline moi, Le cul de la crémière, Rocco, Le Donjon (pour les plus softs). Forcément, à la simple lecture, on imagine combien cela doit être amusant (ou pas) de passer commande.
Des soirées thématiques à La Coquinière
Depuis son ouverture en septembre dernier, ce restaurant du soir a trouvé sa clientèle, « composée majoritairement de couples ou de tables de filles », apprend-t-on sur place. Plusieurs fois par mois, La Coquinière organise des soirées thématiques. Celle de la Saint-Valentin est déjà complète. Mais vous pourrez vous rattraper en février avec la soirée cabaret du 17, le loto fripon du 23 ou la nuit des songes le 24. Le dress code à cette occasion ? "Tenue de ville interdite, soyez créatif !". Hors soirées, La Coquinière vous accueille aussi pour boire un verre et partager ses tapas.
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